Mémoires
Ces réalisations sont empreintes d’un affect directement lié au caractère collecteur de sa démarche artistique et en sa qualité intrinsèque de mémoire.
Elle fabrique un inventaire d’expériences visuelles en créant une collection de tableaux tout comme elle pourrait assembler les séquences d'un film.
A travers un répertoire d'images éclectique, Cécile Harrison révèle dans sa peinture un univers chromatique emprunté, entre autres, au cinéma de D. Lynch ou de I. Bergman. Les références à l’iconographie cinématographique invitent le spectateur à devenir acteur de la scène présentée avec ses indices et ses sous-entendus. Les cadrages sont parfois intrigants et l'effet flouté de certains tableaux apparaît comme une invitation au rêve et à la contemplation.
La série de tableaux présentée ici a été l'objet d'une installation à la foire Mac 2009. Des photogrammes tirès d'un film super 8 ont été utilisés, l'artiste a tenu à mettre en evidence les distorsions de l'images, les transparences liés à la qualité veillie du film. Les peintures donnent alors une impression de déjà vu et font appel à la mémoire et au vécu de chacun.
Ses réalisations sont empreintes d’un affect directement lié au caractère collecteur de sa démarche artistique et en sa qualité intrinsèque de mémoire.
Elle fabrique un inventaire d’expériences visuelles en créant une collection de tableaux tout comme elle pourrait assembler les séquences d'un film.
A travers un répertoire d'images éclectique, Cécile Harrison révèle dans sa peinture un univers chromatique emprunté, entre autres, au cinéma de D. Lynch ou de I. Bergman. Les références à l’iconographie cinématographique invitent le spectateur à devenir acteur de la scène présentée avec ses indices et ses sous-entendus. Les cadrages sont parfois intrigants et l'effet flouté de certains tableaux apparaît comme une invitation au rêve et à la contemplation.